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 Jeffrey Coleman - Le Raven

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Jeffrey Coleman

Jeffrey Coleman

Messages : 94
Date d'inscription : 09/03/2014
Age : 36


Jeffrey Coleman - Le Raven Vide
MessageSujet: Jeffrey Coleman - Le Raven   Jeffrey Coleman - Le Raven I_icon_minitimeDim 4 Mai - 13:50

Jeffrey Coleman

♦ Célébrité : Patrick Wilson
♦ Age : 40 ans
♦ Pseudonyme : Raven
♦ Groupe : Super-héros

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♦ Personnalité : Jeffrey est un individu plein de convictions sur la justice, avec un très haut sens moral du devoir et des responsabilités. Ces qualités en font aussi bien un journaliste d’investigation acharné et méticuleux, à la fois très professionnel et intègre, qu’un justicier masqué engagé et courageux prêt à se sacrifier pour la ville. D’un naturel prudent et prévoyant, il est moins audacieux que les autres super-héros, mais a un sens tactique plus développé que la plupart d’entre eux. « Le bon outils au bon moment » est sa devise. En société Jeffrey n’est pas toujours à l’aise, souvent nerveux et mal à l’aise malgré son éloquence de rédacteur. Une fois qu’il a revêtu son masque, il devient tout autre, plus confiant et sûr de lui.

♦ Physique : Coleman est en apparence un être assez fade pour ceux qui côtoient le journaliste. Avec sa coupe de cheveux sans faste, ses grosses lunettes et ses tenues sobres et sans éclats, il n’est pas quelqu’un qui marque les esprits. Les gens ont tendance à ne pas faire attention à lui mais remarquent très vite son sourire bienveillant et son regard intelligent et scrutateur lorsqu’ils engagent une conversation avec lui. Une fois sous son alter-ego, Jeffrey apparaît comme un justicier encapé qui tient autant de l’oiseau de proie que du preux chevalier. S’astreignant à des entraînements physiques rigoureux, il possède un corps robuste et athlétique.

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♦ Pouvoirs, talents et compétences : En tant que journaliste, Coleman est un redoutable partisan du « 4 éme pouvoir ». Il se sert de sa profession pour mettre à nu les sombres intentions et les complots des gens qui menacent la ville. Simple rédacteur d’investigation, il est un peu isolé et n’est pas une source de grande menace malgré ses talents, mais il a assez de cran pour nuire aux plus puissants d’Haven City.

En tant que Raven, Jeffrey a tous les atouts pour combattre le crime dans les rues. Ancien boxeur professionnel, il sait enchaîner crochets, direct et uppercut avec savoir faire pour taper là où ça fait mal. Il a ajouté les coups de pieds et de coudes les plus sournois à sa panoplie pour se défendre dans les rues. Le Raven est un athlète agile qui sait escalader des surfaces dangereuses ou faire des numéros d’équilibriste quand il le faut, mais cela n’est pas son domaine de prédilection. Son costume est assez endurant pour parer les coups de lames tranchantes, mais pas assez pour les projectiles d’armes à feu. Son costume, tout comme sa cape et son masque, ont un revêtement qui lui permet de résister aux flammes. Il peut ainsi survivre au souffle d’une explosion ou sortir indemne d’un incendie.

Jeffrey utilise divers outils pour faire face à tous les types de situation. Ses lunettes de Raven sont capables de lui offrir visions nocturne et thermique. Elles possèdent une base de données capable de lui donner des infos sur ce qu’il visualise. Ses lunettes de justicier sont indispensables car étant myope, sans elle, il est vulnérable. Il emploie quelques shurikens qu’il surnomme ses « griffes ». Ils lui servent aussi bien comme gadget providentiel que comme arme de diversion ou de contre-attaque. Il affectionne également les balles fumigènes. Il utilise un engin volant qu’il surnomme Birdy. Cet appareil idéal pour se frayer un chemin entre les buildings de la ville, est muni de diverses améliorations comme lance-flamme, haut parleur et mitrailleuse.
Jeffrey Coleman est né à Haven City, il a grandit et a toujours vécu dans le misérable quartier de Slauson. Il a passé sa jeunesse dans une de ces enclaves au cœur de la ville, dont les guides touristiques ne parlent jamais et que les artistes rejettent. Parce qu’ils préfèrent peindre les bâtiments les plus connus de la cité. Son père était dessinateur industriel pour la Emerson Corporation, la principale société d’Haven City. Quand à sa mère, elle était employée de bureau dans une compagnie d’assurance. Le père de Jeffrey (ou Jeff pour les intimes) était un gros gaillard et sa mère une bonne nature. Son père avait de nombreuses maximes très terre à terre. Il avait envisagé de les réunir dans un recueil et de les publier lorsqu’il aurait prit sa retraite. Ses phrases étaient du genre : « Dieu bénisse les homosexuels, ça fait des femmes en plus pour ceux qui restent. » « Je n’aime pas les riches de cette ville, ils sont arrogants, mais si Mr Emerson en personne vient s’installer dans l’appart d’à côté, je serais le premier à l’accueillir avec une plâtrée de côtelettes et une bouteille de bière. » « On a jamais rien eut à faire dans des autres pays comme le Vietnam ou l’Afghanistan, sauf si on veut vraiment gagner. Et ça, ça veut dire larguer la bombe nucléaire. » « Si Dieu avait voulut que les super-héros servent de modèles aux gens de cette ville, pourquoi leur a-t-il donné des capes et des masques ridicules ? ». Et ainsi de suite. Les parents de Coleman étaient plein de bonnes volontés et sans intentions malignes. Ils étaient fiers que leur fils parvienne à réussir une carrière de journaliste parvenu à l’âge adulte, mais ils n’eurent jamais l’occasion d’assister à ses exploits. Ses parents disparurent quelques années avant que Jeffrey ne devienne un des justiciers masqués de cette ville. Son père mort d’une embolie pulmonaire et sa mère de chagrin peu après.

Quand il était jeune, alors que les autres enfants d’Haven City scrutaient le ciel à la recherche de soucoupes volantes, ou même de super-héros. Jeffrey lui, le soir parcourait en basket la cour de l’immeuble locatif de ses parents. L’oreille tendue guettant le cri qui annonce la présence d’un prédateur. Il y avait un oiseau qui revenait souvent dans le quartier : le corbeau. Cherchant quelques proies dans les ténèbres. Ce charognard était méprisé par l’humain. On l’associait trop à des choses négatives. Dans l’antiquité, ce volatile était même parfois associé à la vengeance divine. Un soir, alors qu’il traversait le parking de l’immeuble, préoccupé par ses soucis de la journée et l’esprit vide, il entendit soudain le cri du corbeau à la recherche d’une charogne. C’était sans doute un oiseau avancé en âge. Il se faisait entendre probablement pour effrayer une proie et la débusquer. Et Jeffrey se retrouva immobilisé comme une belette ou un hérisson qui servait de proie. Il ressentit la même épouvante que tous ces petits animaux qui avaient peur des prédateurs qui tombaient du ciel. Le corbeau lançait son cri pour hypnotiser sa victime et la clouer au sol sous l’effet de sa frayeur. Ignorant qui était menacé, Jeffrey était immobilisé comme devait l’être tous les rongeurs de la cour. Le corbeau est noir, il se fond dans la nuit, il peut plonger du ciel sans bruit sur ses victimes. Le silence qui précède son attaque est comme une bombe, vous n’entendez pas celle qui vous tue.

L’expérience marqua fortement Coleman qui se mit alors à se passionner pour l’équivalent humain du fameux oiseau : le Raven. Le tout premier super-héros historique d’Haven City dans les années 30. Le justicier avait adopté le corbeau comme surnom et symbole car il fonctionnait exactement comme lui. La nuit il fondait du toit des immeubles sur les criminels dans les rues, les paralysants de terreur et les frappants de ses griffes ; des espèces de shurikens. Le Raven avait disparut après environ 20 ans de services, mais dans les années 70, il était revenu. Le nouveau Raven était probablement un tout nouveau citoyen de la ville qui avait revêtu le masque et la cape du premier. Mais ce ne fut jamais confirmé. Le jeune Jeffrey se passionna pour le Raven, son héros préféré, issus de son oiseau préféré. Il collectionna très vite les comics écrit sur le premier Raven comme le second. Peu importe qu’on ne sache pas s’il s’agissait d’un seul et même héros ou de deux différents. Jeffrey l’adulait. Le Raven était l’un des héros permanent des maisons d’édition. Ses exploits en ville contre le crime inspiraient les auteurs de bandes dessinées. Le Raven envoyait toujours en prison des super-méchants qui parvenaient toujours à s’évader 2 numéros plus loin. Jeffrey adorait le Raven pour ses gadgets et son courage. Voulant imiter ses dons martiaux, il se lança dans la boxe. Ayant commencé une carrière amateur à 17 ans, Coleman passa professionnel à 24 ans. Il fit une carrière modeste sur les rings d’Haven City en parallèle à son métier de journaliste. Il se retira sagement à 35 ans avec un score honorable : 43 victoires pour 8 défaites et 2 matchs nuls. A 31 ans il avait perdus son combat pour le titre de champion de la ville, qui l’empêcha d’envisager un combat pour le titre de champion des USA. Jeffrey avait beau être robuste et avoir un physique de boxeur, il ne payait pas de mines avec sa tête de brave type à lunettes et ses tenues qui étaient en permanence à contre-courant de son époque et ses modes. Dès qu’il pu se consacrer pleinement à ses activités journalistiques, il gravit les échelons du Daily Haven, principal quotidien de la ville pour devenir un de ses principaux rédacteur et reporter.

Coleman avait conservé de son enfance sa passion pour le Raven et tous les justiciers en général. En tant que journaliste il s’intéressa fortement au phénomène des super-héros et criminels, enquêtant et écrivant sur eux. Le second Raven occupait d’ailleurs une place de choix dans ses articles. Malgré l’approche neutre et objective qu’il s’efforçait d’adopter, il ne pouvait dissimuler son admiration pour le héros de son enfance qui était encore en activité plus de 25 ans après son apparition dans les années 70. Son rêve s’exauça un jour. Il rencontra enfin son idole. Nash Garrett était un homme qui avait la cinquantaine bien entamé. Un homme robuste et charismatique. C’était aussi un amateur de boxe qui fréquentait souvent les rings d’Haven City comme spectateur. La première fois qu’il assista à un combat de Coleman, c’était vers la fin de la carrière pugilistique de celui-ci alors qu’il avait 33 ou 34 ans. Jeffrey se distingua aux yeux de Garrett car il était différent des autres boxeurs. Il ne combattait pas pour le sang, la violence ou l’argent. Son style n’était pas brutal, il était clairement « héroïque » et plein de panache. A partir de ce moment Garrett assistât à tous les combats de Coleman jusqu’à ce qu’il raccroche les gants. Jeffrey remarqua ce spectateur particulier et assidu. Les deux hommes firent connaissance dans les vestiaires et discutèrent longuement de boxe, de tout et de rien au cours des mois suivants. Après son retrait des rings, Coleman reçut la visite de Garrett qui lui demanda de l’aide : il cherchait un sparing partner privé pour l’entrainer. Coleman accepta et vint mettre les gants avec son vieil ami tous les dimanches dans une salle d’entrainement vide d’un ringside. Il pensait que Nash avait besoin d’apprendre le close combat pour se défendre contre les délinquants ou quelque chose de ce genre à son âge, mais non. Il remarqua très vite que Garrett était déjà bien athlétique, avait une longue expérience du combat derrière lui et en connaissait plus que lui d’un point de vue technique. Il cherchait un sparing partner non pas pour apprendre, mais s’entrainer et rester à niveau à cause de son âge. Coleman qui n’était pas dupe, le questionna. Nash ne pouvait pas le berner. Il savait reconnaitre une bonne âme sans malice quand il en voyait une et avait décelé depuis bien longtemps que Jeffrey était un homme intègre. Aussi il accepta de lui dire la vérité. Il lui révéla son secret : il était le Raven. Il avait endossé le masque pour succéder au premier Raven dans les années 70. Il avait 25 ans. Désormais il avait la cinquantaine et était loin de sa grandeur passé. Il n’arrivait pas à arrêter sagement sa lutte contre le crime tant qu’il était encore temps. Il avait besoin de Coleman pour rester à niveau. Nash l’emmena dans son repaire et lui raconta tout.

Nash Garrett avait été boxeur lui aussi dans sa jeunesse. Il admirait le premier Raven. Il n’avait pas encaissé sa disparition mystérieuse. Il avait voulut devenir justicier lui aussi, mais pas n’importe lequel. Il avait voulut faire croire à la ville que le Raven était revenu et était toujours là. Il avait bien planifié son coup dans les moindres détails. Le costume était presque identique que celui du justicier des années 30 et 40. Il s’était déniché une planque adéquate en ville. Il avait préparé avec soin sa campagne contre le crime. Il s’était doté d’un attirail peu commun. Les débuts du second Raven furent fracassants. En une semaine il détruisit le réseau de jeux clandestins du « Flambeur ». En un mois il mit sous les verrous « 4éme vitesse » le maître du recel automobile. En 6 mois il écrasa le trafic de fausse monnaie de « Billet Rouge ». Le nouveau Raven relança les super-héros pour un temps. Une nouvelle vague de justicier tomba sur la ville.

Coleman heureux de connaître enfin l’idole de son enfance, devint le fidèle ami et entraineur du vieux justicier. Il ne pouvait se résoudre à dire à Nash de prendre sa retraite. Il voulait lui aussi que le Raven continue à exister. Finalement Garrett trouva la mort. D’une façon aussi mystérieuse que la disparition du tout premier Raven. On retrouva son cadavre dénudé de son costume dans un terrain vague, au milieu des débris de papiers et des flacons de gnôles. C’est comme si son meurtrier après lui avoir dérobé son costume et son masque, l’avait jeté aux ordures. Le corps de Nash était plein de brûlures inexplicables partout. Le visage arraché, comme s’il avait reçu une poutre enflammé dans la figure, qui dégringolait du plafond à cause d’un incendie. Malgré l’aspect calciné du corps, les autorités découvrirent son identité grâce à l’ADN. Il s’agissait bien de Nash Garrett. Mais en l’absence de son costume, jamais les flics ne devinèrent qu’il était le Raven. Seul Coleman savait la vérité.

Qui l’avait tué ? Pourquoi ? Jeffrey l’ignorait et bien entendus allait tout faire pour le découvrir. Le vieux Nash ne lui parlait jamais de ses investigations ou de ses ennemis du moment pour le protéger. Mais plus que la mort attristante de son idole et ami, Coleman était aussi désespéré à l’idée que le Raven allait disparaitre. Le Raven avait protégé la ville avant la seconde guerre mondiale. Le Raven avait protégé la ville avant la 21 éme siècle. Et le Raven devait à nouveau protéger la ville maintenant. Coleman prit une décision lourde de conséquence. Reprendre le rôle. Il ne le faisait pas par ambition, ni par orgueil, mais par nécessité et idéalisme. Il devait y avoir à nouveau un Raven. Le premier et le second n’étaient pas morts en vain. Il serait le 3éme. Cela lui prit au moins 2 ans d’une longue préparation : s’instruire, s’entrainer. Pour actualiser les gadgets et le costume qu’il avait hérité du Raven, apprendre à les employer. Penser et savoir agir comme un super-héros. Acquérir leur savoir faire. Il devait être préparé à tout.

Désormais le moment est venu. Le Raven va revenir dans les rues. Le mythe va continuer à se perpétuer. Jeffrey Coleman est prêt. Les criminels vont bientôt affronter un Raven rajeuni et mis à jour. Il y aura toujours un Raven pour protéger Haven City.
♦ Pseudo : Doudou

♦ Âge du joueur : 26 ans

♦ Découverte du forum : Je suis l'un des deux fondateurs

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